
Par Didier Schyns
Si les 70 premières minutes du match remporté dimanche à Eupen ont prouvé que le Standard avait été bien inspiré en recrutant, en fin de mercato estival, de la qualité, du muscle et du vécu, les 20 dernières (et même 30 en ajoutant le temps additionnel) ont démontré, à l’inverse et par l’absurde, que l’équipe liégeoise, secouée d’importance et soudain revenue à son niveau du début de saison après la sortie de quatre de ses cadres (Laifis, Djenepo, Hayden puis Kawabe), aurait sans doute éprouvé toutes les peines du monde à s’en sortir si elle n’avait pas été renforcée en dernière minute.
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