France, Portugal, Angleterre, Espagne : au final, tous les favoris à l’Euro ont pataugé dans la semoule


L’Espagne est-elle vraiment l’une des favorites pour l’Euro ? Les avis divergent radicalement, certains estimant qu’on doit systématiquement garder cette Roja à l’œil dans les grandes compétitions, alors que d’autres la voient toujours en pleine reconstruction après l’épopée dorée du début des années 2010.

Force est de constater que ce rassemblement de mars n’a pas livré davantage d’enseignements concernant cette équipe d’Espagne, branchée sur courant alternatif depuis des mois. Méchamment remaniée, l’équipe de Luis de la Fuente a entamé son diptyque de matches amicaux en s’inclinant contre la Colombie (0-1). Une rencontre, lors de laquelle les Espagnols auront beaucoup tenté… sans réussite (13 tirs, 3 cadrés, 0 but).

En parlant de réussite, ils l’ont retrouvée quatre jours plus tard lors du choc face au Brésil. Face à une Seleçao en mission et toujours avide de gros coups, les Espagnols ont marqué trois buts, grâce à Rodri (par deux fois) et Dani Olmo (quel but !).

En attaque, tout allait donc pour le mieux. Sauf que derrière, ça a grincé, et pas qu’un peu. Endrick et Rodrygo, buteurs, se sont régalés des espaces offerts. Au final, c’est Pereira qui a définitivement crucifié l’Espagne en égalisant sur pénalty dans les arrêts de jeu. 3-3 score final au terme d’un match qui n’avait rien d’amical.

Un peu comme l’Angleterre, l’Espagne impressionne donc par sa force offensive. Mais un peu à l’image des Three Lions, la défense n’est pas des plus rassurantes. En témoignent ces deux matches sans victoires et ces 4 buts encaissés.



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